Le Népal offre des opportunités de trek toute l’année, mais les meilleures périodes pour faire un trek dépendent de ce que vous recherchez en termes de conditions météorologiques et de paysages. Les deux principales saisons de trek au Népal sont la saison sèche (automne) et la saison pré-mousson (printemps). Voici plus de détails sur ces deux saisons :

1. Automne (septembre à novembre) :
   • Cette période est considérée comme la meilleure saison pour le trekking au Népal en raison de conditions météorologiques stables et d’un ciel dégagé.
   • Les températures sont agréables, avec des journées chaudes et des nuits fraîches en altitude.
   • Les sentiers sont généralement secs, offrant une marche plus facile et des vues panoramiques claires sur les montagnes.
   • Les destinations populaires comme l’Everest Base Camp et le circuit des Annapurnas sont très fréquentées pendant cette saison, alors réservez à l’avance.
2. Printemps (mars à mai) :
   • Le printemps est une autre période idéale pour le trekking au Népal.
   • Les températures commencent à se réchauffer, la neige fond progressivement en altitude, et les fleurs sauvages commencent à éclore, ce qui rend les paysages magnifiques.
   • C’est également la période de la floraison des rhododendrons dans certaines régions, comme les collines de l’Annapurna.
   • Les sentiers sont encore relativement secs et offrent une visibilité exceptionnelle.

En dehors de ces deux saisons, il y a d’autres moments de l’année où vous pouvez envisager de faire un trek au Népal, mais les conditions météorologiques peuvent être moins favorables. Par exemple, la saison d’hiver (décembre à février) peut être froide, avec de la neige en altitude, tandis que la saison de la mousson (juin à août) apporte des pluies abondantes et des risques d’inondations et de glissements de terrain.

Chaque région du Népal peut avoir des variations dans les conditions météorologiques, il est donc recommandé de faire des recherches spécifiques sur la région que vous souhaitez explorer et de consulter un guide local ou une agence de trek pour obtenir des conseils plus précis sur les conditions actuelles. Assurez-vous également de disposer de l’équipement de trek approprié pour faire face aux variations de température et de précipitations.

Le Stupa de Bodnath

Les stupas sont des monuments typiquement bouddhistes que l’on peut visiter en Inde et Asie du Sud-Est. Le Stupa de Bodnath est le plus grand du Népal, et c’est un lieu de pèlerinage très important pour les bouddhistes. Majestueux et riche en histoire, il vous fascinera surtout par sa taille : 40 mètres de hauteur et environ 100 mètres de circonférence, vous ne pourrez que le remarquer ! Son imposant toit doré est orné de deux yeux immenses, représentant les yeux de Bouddha.

Le temple de Swayambunath, également appelé « Monkey Temple » en raison de la présence de nombreux singes a en effet été construit durant le 5^ème siècle pour honorer Boudhha. Véritable trésor népalais, il s’agit de l’un des plus anciens monuments religieux du pays. Son emplacement sur les hauteurs de la ville offre une vue imprenable Katmandou et la vallée.

Durbar Square

Quartier fourmillant de la ville, ne manquez pas Durbar Square si vous visitez Katmandou. Ici, une concentration de temples et de statues vous permettront de mieux connaître la religion hindoue.

Cet endroit est littéralement grouillant de monde, mais il s’agit vraiment du cœur de la ville. C’est d’ailleurs un des lieux de passages phares des visites guidées de la ville. Chauffeurs, vendeurs ambulants et guides tenteront de négocier avec vous, pour vous accompagner lors de votre trek par exemple. Peut-être y trouverez-vous un souvenir à rapporter ?

Les charmeurs de serpents

En vous baladant dans les rues de la ville, vous croiserez peut-être des charmeurs de serpents. Pour une petite montée d’adrénaline, donnez quelques pièces au charmeur et laissez-le vous poser son reptile quelques instants sur les épaules… Ou prenez-le simplement en photo, si l’exercice vous fait peur ! Ames sensibles, s’abstenir…

Thamel

Il peut être assez difficile de s’y retrouver dans Thamel, quartier le plus ancien de la capitale.

Pas d’indications, pas de noms de rues, et une ambiance ultra animée en raison du nombre élevé d’habitants par rapport à la petite taille des ruelles. Mais ici, vous trouverez un large choix d’hôtels, restaurants et boutiques de sport : s’il vous manque des équipements pour vos sessions de trek, alors c’est par ici que vous pourrez vous ravitailler ! Malgré le brouhaha du quartier, certains y trouveront un charme un peu hippie grâce aux nombreuses boutiques d’artisanat local et à l’ambiance « joyeux bazar » qui y règne.

Le Jardin des rêves

Après toutes ces activités, vous cherchez encore que faire à Katmandou ? Et bien pourquoi pas, le temps d’un instant, choisir… de ne rien faire du tout ? Enfin pas tout à fait. En visitant le Jardin des Rêves situé à l’entrée du quartier Thamel, vous n’aurez qu’une seule envie : y admirer les fontaines, mares aux canards, et volières, formant un ensemble bucolique appelant au calme et à la sérénité. Et pour cela, rien ne vaut une petite sieste sur la pelouse en écoutant le chant des oiseaux ! Six pavillons ont été érigés dans ce parc, représentant chacun l’une des six saisons népalaises : le printemps, la mousson, le début de l’automne, la fin de l’automne et l’hiver.

Bhaktapur

Ville royale située à quelques kilomètres de Katmandou, Bhaktapur fait partie des destinations les plus prisées. Abritant plusieurs temples dont le temple de Nyatyapola (le plus haut du Népal), Bhaktapur est avant tout appréciée pour ses petites rues pavées dans lesquelles les visiteurs se plaisent à flâner et découvrir l’art newa entre deux visites. Et pour cause, à contrario de Katmandou, les ruelles sont propres et entretenues ! Les véhicules motorisés sont même interdit à la circulation. C’est notamment ici que vous pourrez découvrir de très belles oeuvres de poterie, marchander quelques pièces de tissu et vous arrêter devant sculptures et autres marionnettes.

Si l’entrée à Bhaktapur est payante (environ 10€, ou sous la forme d’un forfait pour les visites au départ de Katmandou), ceux qui en repartent sont unanimes : la petite perle de la vallée vaut chaque roupie dépensé !

Pashupatinath

Suprême des lieux sacrés, le Temple Pashupatinath est le lieu de culte le plus important du Népal, incontournable des visites guidées de la vallée. Érigé sur 281 hectares sur la rive du Bagmati, il est dédié au dieu hindou Shiva et accueille sous ses toits d’or, des milliers de fidèles de toutes castes. Si l’entrée est ouverte aux hindous, elle leur est aussi réservée : aucun étranger n’a le droit de pénétrer dans le temple, les gardes se basant même sur la couleur de peau, de façon à notamment exclure certains locaux dont l’apparence s’éloigneraient trop de leurs ancêtres népalais.

Si, en tant que touriste, vous n’aurez donc pas accès à l’intérieur de ce lieu préservé, les alentours valent le détour. Tout autour du temple vous pouvez donc découvrir les scènes locales (entrée et sortie des fidèles) mais aussi et surtout assister à un rite bien moins réjouissant mais tout autant sacré : la crémation. De l’autre côté de la rivière, sont installés les ghâts de crémations du temple de Pashupatinath. Des petites chapelles habitées par des sadhus qui veillent sur l’âme des défunts. Chaque jour, plusieurs familles viennent ici avec la dépouille d’un proche : elles se recueillent et adoptent un certain rituel avant de déposer le corps sur un socle et d’y mettre le feu. Enfin, les familles se prêtent à un bain purificateur dans la rivière Bagmati où elles libèrent les cendres pour que ces dernières soient emportées par le courant.

Même si tout se passe à une certaine distance, inutile de préciser que le rituel est saisissant pour toute personne qui y assiste. De ce fait donc, il est bien évidemment déconseillé aux enfants et à toutes personnes qui pourraient y être sensibles.

Temple des singes

Un des nombreux endroits à faire si vous restez un jour de plus à Katmandou. Le Temple des Singes, appelé en népalais le stupa de Swayambhunath. Se trouvant au sommet d’une colline, les courageux atteignant le stupa sont récompensés d’une vue imprenable sur Katmandou et la vallée ! Mais le stupa en lui-même reste le clou du spectacle.

Swayambhunath, ou Temple des singes, est un des plus anciens et le plus saint des sites bouddhistes de Katmandou. Il est situé sur une colline à l’ouest de Katmandou surplombant la ville. De quoi se muscler les jambes…

Les Népalais ne comprennent pas que l’on puisse s’énerver et s’emporter, surtout en public. Il est donc toujours très important de garder son calme et son sourire quelle que soit la situation.

La préparation physique pour un trek court peut commencer 2 mois avant, sinon 3 mois pour les moins sportifs. L’idée est de faire de la marche avec votre sac à dos chargé comme celui que vous aurez en condition réelle. Les marches peuvent être de 4 à 5 heures.

C’est une question qui revient souvent. Si vous souhaitez acheter au Népal, je vous conseille d’acheter votre matos à Katmandou, plus précisément dans le quartier de Thamel. Il est possible d’acheter son matos à Pokhara quand on passera par cette ville également. Je vous déconseille d’acheter vos chaussures car il faudra les tester bien avant afin d’éviter des ampoules ou autres mauvaises surprises durant le trek. Par contre, côté matos alpinisme, je vous déconseille d’acheter cela au Népal. Les crampons et piolets loués provienne des USA ou d’Europe. Certainement pas du Népal (ou de Chine…).

Côté prix, tout est beaucoup moins cher qu’en France, du pantalon, à la veste  en passant par le sac de couchage, vous trouverez de tout. On vous aidera à trouver les bonnes boutiques si besoin 🙂

Si vous souhaitez acheter en France, il existe beaucoup de sites en ligne (ou non), perso, nous utilisons le site https://www.trekkinn.com/montagne (Pas mal en période de solde, les prix sont moins chers que les sites français).

Lorsque vous voyagez au Népal, il est essentiel de prendre des précautions en ce qui concerne l’eau que vous buvez pour éviter les problèmes de santé liés à la contamination. Voici quelques conseils sur la consommation d’eau au Népal :

• Eau en bouteille : La manière la plus sûre de boire de l’eau au Népal est d’acheter de l’eau en bouteille de marques réputées. Assurez-vous que le sceau de la bouteille est intact avant de l’ouvrir.
• Eau purifiée : Dans de nombreuses régions touristiques, vous pouvez trouver des dispositifs de purification de l’eau, tels que des filtres à eau ou des comprimés purifiants. Ces méthodes permettent de rendre l’eau du robinet potable. Suivez les instructions du produit pour les utiliser correctement.
• Faire bouillir l’eau : Faire bouillir l’eau du robinet pendant au moins trois minutes est un moyen efficace de la purifier. L’eau bouillie est généralement disponible dans les restaurants et les logements.
• Évitez la glace : Lorsque vous commandez des boissons, demandez sans glace (« sans glaçons » en népalais : « glaas chhaina »).
• Évitez l’eau du robinet : Il est généralement recommandé de ne pas boire l’eau du robinet au Népal, même dans les hôtels de haut standing. Utilisez de l’eau en bouteille ou purifiée pour vous brosser les dents.
• Boire des boissons chaudes : Les thés et les infusions sont une option sûre, car l’eau est bouillie lors de leur préparation.
• Évitez les aliments lavés à l’eau non purifiée : Soyez prudent avec les fruits et légumes crus qui peuvent avoir été lavés à l’eau du robinet non traitée.
• Ne buvez pas l’eau lorsque vous prenez une douche…

Évitez d’utiliser l’eau du robinet pour vous brosser les dents à Katmandou. Bien que j’aie voyagé pendant un certain temps sans suivre cette règle nulle part ailleurs, je pensais que les inquiétudes des touristes étaient exagérées. Je croyais même que cela aiderait progressivement mon corps à s’acclimater au pays en ayant un peu d’eau du robinet dans la bouche. Cependant, j’ai récemment découvert que même les habitants locaux évitent de se brosser les dents avec l’eau du robinet en raison de sa contamination élevée. Cela m’a fait réaliser que c’est vraiment une question d’hygiène. Donc, sérieusement, suivez cette règle : utilisez de l’eau en bouteille pour vous rincer la bouche à Katmandou.

Petite astuce que je pratique avant de me rendre en montagne. C’est déconseillé de le faire souvent mais nous le savons tous, en altitude, l’eau dans nos sacs à dos deviendra froide, voir très froide. Du coup, vous n’aurez plus trop envie de boire cette eau et vous vous limiterez votre consommation journalière. Ce qui n’est pas bon pour l’acclimatation.

L’astuce est de s’habituer, dés à présent, à boire des boissons froides  afin d’habituer votre corps à l’eau froide. Le corps a un très bonne mémoire, le jour J, vous la boirez assez « facilement ».

Dans votre sac à dos, essayez de coller votre bouteille d’eau contre votre dos également afin qu’elle soit moins froide.

Bien entendu, cela n’engage que moi et vous trouverez toutes sortes de conseils qui se contredisent sur la toile. 🙂

Vous pouvez toujours en apporter avec vous. Nous en aurons aussi dans notre trousse de secours. Si vous savez êtes sujet à ce mal, où s’il persiste malgré quelques jours de repos, il existe un médicament puissant : le Diamox (parlez-en à votre médecin avant de partir). Mais surtout ne prenez pas de somnifères car ils ralentissent la respiration et vont aggraver la situation. Prenez uniquement des comprimés de paracétamol en cas de mal de tête. Et parlez-nous en durant le trek.

Pour trouver des vols pas chers pour le Népal, vous pouvez utiliser plusieurs sites web et moteurs de recherche de vols. Voici quelques-uns des sites populaires pour comparer et réserver des vols à des tarifs avantageux :

• Skyscanner (www.skyscanner.net) : Skyscanner est un moteur de recherche de vols qui vous permet de comparer les prix de nombreuses compagnies aériennes et agences de voyage pour trouver les meilleures offres.
• Google Flights (www.google.com/flights) : Google Flights offre un outil de recherche convivial qui vous permet de comparer les prix des vols vers le Népal et d’explorer des options flexibles en fonction de vos dates de voyage.
• Kayak (www.kayak.com) : Kayak est un autre moteur de recherche de voyages qui vous aide à trouver des vols bon marché pour le Népal en comparant les tarifs de différentes sources.
• Expedia (www.expedia.com) : Expedia propose des offres de vols et de forfaits voyage vers le Népal, ce qui peut être utile si vous cherchez à réserver des vols et un hébergement en même temps.
• Momondo (www.momondo.com) : Momondo offre des options de recherche de vols et de comparaison de prix pour vous aider à trouver des vols abordables pour le Népal.
• Skyscanner India (www.in.skyscanner.com) : Si vous voyagez depuis l’Inde vers le Népal, Skyscanner India peut être particulièrement utile pour comparer les vols.
• ITA Matrix (www.matrix.itasoftware.com) : ITA Matrix est un outil de recherche avancé qui vous permet de personnaliser votre recherche de vols avec des critères spécifiques.
• Vols à prix réduit vers le Népal : Assurez-vous de consulter les sites web des compagnies aériennes qui desservent le Népal, notamment Qatar Airways, Turkish Airlines, Etihad Airways, Emirates, et d’autres, pour des offres spéciales et des promotions.

N’oubliez pas de comparer les prix sur plusieurs de ces sites pour obtenir les meilleures offres possibles. De plus, soyez flexible avec vos dates de voyage et envisagez de réserver à l’avance pour bénéficier de tarifs avantageux.

Sur le sentier, l’électricité peut être sans frais mais c’est parfois payant et ça peut monter facilement suivant les endroits. Nous vous conseillons des chargeurs solaires qui peuvent s’avérer très utiles dans toutes vos randonnées et voyages si vous voyagez souvent dans des zones où il n’y pas de courant electrique. C’est beaucoup plus rentable selon nous.

Notez qu’au Népal, on utilisera le voltage de 220 V. Les coupures sont fréquentes (emportez des bougies et une lampe de poche avec vous). Une grande partie du pays ne possède pas encore l’électricité malheureusement.

Le Népal, c’est très poussiéreux. Que ce soit au cœur de Katmandou ou dans les montagnes à basse altitude, les routes sont recouvertes de poussières très volatiles dans la capitale népalaise. Plusieurs voyageurs se retrouvent avec des infections respiratoires. Porte ton masque ou une écharpe pour rester en bonne santé. J’ai moi même constaté cette pollution dés mon premier jour. C’est assez impressionnant.

Vous prévoyez un trek au Népal, un sommet dans les Andes ou encore une longue randonnée dans les Alpes ? Cet article est là pour vous aider. Voici quelques conseils pour entraîner votre corps à l’effort et minimiser les inconforts de l’altitude.

Le saviez-vous ? Au delà d’une certaine altitude, votre randonnée peut prendre une autre tournure. On considère les randonnées en haute altitude au-dessus de 2400 mètres. (Il arrive que des personnes souffrent du mal d’altitude bien en dessous). Au delà de 2400, tous les sentiers sont considérés comme des treks d’altitude. Si l’altitude attire, elle reste définitivement une (belle) inconnue.

Comme vous le savez, la pression de l’air varie en fonction de l’altitude, plus élevée au niveau de la mer, cette dernière diminue lorsque vous montez. Vous l’aurez compris, moins il y a de pression d’air, moins il y aura d’oxygène pour respirer. Résultats, votre corps fonctionnera de manière moins efficace lorsque vous monterez en altitude.

Le corps humain est une formidable machine à condition de respecter certaines étapes bien entendu. En changeant progressivement d’altitude (je dis bien PROGRESSIVEMENT), notre corps s’adapte. Pour pallier à cet apport réduit en oxygène, l’organisme augmente, entre autre, le niveau de globules rouges dans le sang. Le processus prend néanmoins quelques jours et diffère d’un randonneur à l’autre. D’où l’importance de ne pas monter rapidement…

Comment cela se manifeste t-il ? Serais-je touché ?

Cela dépendra de plusieurs facteurs. A une certaine altitude, vous aurez ce besoin de respirer plus profondément et de manière répétée car votre corps manque d’oxygène. Pour qu’il puisse correctement travailler, il faudra marcher moins vite afin d’éviter les problèmes de mal d’altitude.

L’incontournable, les maux de tête (pas de panique, ça arrive souvent), une perte d’appétit et du mal à dormir la nuit (sensation d’étouffement parfois). Patientez au lendemain, si vous n’éprouvez plus rien, tant mieux. Si ce n’est pas le cas, il faudra descendre un peu plus bas afin de vous reposer.

Bien entendu, il faudra surveiller son corps attentivement à partir de là ! N’hésitez pas à le dire au guide et à vos compagnons de marche. (On est là pour ça aussi 😉 ) Certains jours, il est omniprésent et le lendemain, il n’est qu’un mauvais souvenir.

Beaucoup plus graves, si vous vomissez, si vous vous sentez étourdi, si vous tenez des propos incohérents et confus, si vous êtes incapable de marcher, il faudra descendre impérativement et trouver une aide médicale. Il se peut, également, que vos doigts deviennent bleus ainsi que vos lèvres, ce sont aussi des symptômes du mal aigu des montagnes.

Hélas, il n’existe pas de recette miracle pour combattre le mal aigu des montagnes (MAM). Et contrairement aux idées reçues, même la meilleure des préparations physiques ne peut garantir que vous n’en souffrirez pas… Il existe certains médicaments contre l’hypertension (le Diamox par exemple) qui peuvent aider à minimiser les symptômes du MAM.

Voici quelques règles à respecter :

1. On ne le répétera jamais assez, c’est sans doute le conseil le plus important ! Marchez lentement et progressivement. Surtout lorsque vous avez des randonnées de plusieurs jours, ça ne sert à rien d’arriver très tôt à la première étape. Prenez votre temps et respecter les acclimatations. Il est toujours bon de monter dans des zones plus hautes durant la journée, puis dormir plus bas la nuit. Cela vous aidera pour votre acclimatation. A noter, que nous vous conseillons de ne pas dormir plus de 500 mètres plus haut que la nuit précédente. Votre organisme s’adaptera à votre nouvelle situation géographique. Magique, non ? 🙂

2. Tout est dans la « bouffe » ? Buvez et mangez !!!! Les treks d’altitude favorisent la perte d’eau (transpiration,…). Donc buvez, même si vous n’avez pas soif !!! Vos lèvres sont le meilleur indicateur pour cela, si elles sont sèches, c’est que vous êtes déjà déshydraté.

Un assistant guide au Népal nous disait souvent: « Manger, jamais tomber malade ». Et il n’a pas tort 🙂 Durant le trek, nous vous conseillons de boire régulièrement (toutes les 15-20 minutes environ) de petites quantités. Cette quantité va varier évidemment selon votre poids et votre taille. Cela contribue également à l’élimination des toxines.

L’eau est très importante pour réduire les symptômes du Mal Aigu des Montagnes (MAM). N’hésitez pas à manger des produits riches en glucides avant et durant votre trek d’altitude. Pour les amateurs d’alcool, en boire ne ferait que de déshydrater votre corps, à éviter absolument !!!

3. Marchez à votre rythme ! Ca ne sert à rien de marcher rapidement si vous sentez que vous pouvez accélérer. L’astuce est de marcher sans sentir la fatigue (plus facile à dire qu’à faire, n’est ce pas ?! ). 

Pour faire simple, pour les sportifs, il faudra ralentir si vous trouvez la marche du groupe trop lente. C’est au guide d’ »imposer » un certain rythme. N’hésitez pas à prendre des respirations plus profondes, cela vous aidera à avoir plus d’oxygène dans votre sang.

4. Un peu de matos, vous fera du bien. Protégez-vous du soleil et du vent ! Le soleil n’est pas forcement votre ami en montagne. Utilisez un chapeau (ou casquette), des lunettes et un écran solaire haute protection pour cela. Connus, mais souvent négligés : les insolations et les coups de soleil. Couvrez-vous le nez et vos yeux, c’est très important en altitude. Les maux de tête sont souvent liés à ce manque de précaution. Les treks d’altitude demandent du matériel différent. Il vous faudra des vêtements chauds car la météo peut changer rapidement en altitude. Une paire de gants est toujours la bienvenue. Mieux s’équiper, c’est aussi mieux récupérer !

5. Reposez-vous bien le soir. Ne négligez pas ce temps de repos. Le corps en profite pour se remettre en ordre et réparer son système musculaire. Le but sera de prévenir les courbatures, diminuer les tensions musculaires, minimiser la sensation de jambes lourdes ou gonflées survenant le plus fréquemment le lendemain et le surlendemain de la rando et, surtout, de retrouver l’énergie pour le sommet 🙂 Le trek en altitude, en raison de ses dénivelés, a tendance à contracter fortement les muscles des jambes.

Arrangez-vous pour avoir dîné au moins deux heures avant le coucher et surélever légèrement les jambes. Ceci facilitera le retour veineux.

Ces conseils et astuces sont à adapter à votre propre ressenti et à l’intensité de l’effort fourni durant votre trek. Avant de partir en trek, n’oubliez pas qu’une bonne préparation physique facilitera la récupération et rendra votre trek plus agréable. Et rappelez-vous ! « Une difficulté n’en est plus une, à partir du moment où vous en souriez, où vous l’affrontez » – Robert Baden-Powell.

Il y a de fortes probabilités qu’on mangera le fameux Dhal Bat sûrement – 🙂plat typique népalais avec du riz, une sorte de salade et des légumes (soir) ou Chowmein (plat de pâtes). il y aura également du porridge avec banane le matin.
Des frittes et des pattes sont prévues également lors d’un entretien avec notre guide local et même des pizzas,:p … affaire à suivre !

Comme pour toute vacance à l’étranger, il est indispensable de souscrire une assurance voyage en cas d’accidents et de maladie sur place et pour éviter des déconvenues. Les frais médicaux peuvent s’avérer très élevés par rapport à la France!! Pour un trek au Népal, ce n’est vraiment pas une question à prendre à la légère. On parle de randonnée, de haute montagne et il y forcément plus de risques.

Par exemple, si vous avez une blessure à la cheville ou mal aigu des montagne grave et que vous n’avez plus la possibilité de marcher. Se faire évacuer en hélicoptère en haut altitude pour être pris en charge dans une clinique de Katmandou, peut vous coûter 5000$!!! Grâce à une assurance voyage qui comprend le rapatriement sanitaire, vous n’avez ni à avancer de l’argent, ni à rembourser cette somme. Tout est pris en charge.

Ne faites sur surtout pas l’impasse sur l’assurance voyage!

Mais avant de prendre l’assurance votre assurance, nous pouvons envoyer un mail de groupe afin de bénéficier d’un tarif avantageux. Nous vous recontacterons très prochainement si cela vous intéresse.

La carte Visa Premier, que l’on croit toujours être le top des assurances (sinon pourquoi paierai-t-on 150€ / an une carte bancaire ?) assure principalement le vol et la perte de bagage. Mais est inefficace en cas de rapatriement dans des conditions un peu spéciales. Et le trek en altitude est une condition spéciale.

Si vous êtes en France, une des meilleures assurance pour être assuré à votre trek au Nepal est sans aucun doute celle de la carte du Vieux Campeur. Une option spécifique pour le rapatriement depuis une altitude supérieure à 4000m est une option (30€) à souscrire. En réalité, c’est EUROP ASSISTANCE qui assure l’abonné. Le contrat vous couvre en revanche uniquement en cas de rapatriement obligatoire (incapacité à descendre de votre propre chef), pas en cas de rapatriement « confort ». L’assurance de la carte plus option revient à environ 50€, pour un an. Un rapatriement en hélicoptère coûte environ entre 2500 et 5000$. Et l’hélico (affrété par une compagnie privée) ne décollera que s’il est sûr d’être payé. Soyez rassuré 🙂

Voici quelques-unes des meilleures assurances voyage à considérer pour un voyage au Népal :

1. World Nomads : World Nomads est une assurance voyage populaire parmi les voyageurs aventuriers. Ils offrent une couverture pour les évacuations médicales d’urgence, ainsi que pour d’autres situations imprévues telles que la perte de bagages, les retards de vol, etc.
2. Allianz Travel : Allianz propose une gamme d’options d’assurance voyage avec des plans spécifiques pour les aventuriers. Leurs polices couvrent généralement les frais d’évacuation médicale et offrent une assistance 24h/24.
3. IMG Global : IMG Global offre des plans d’assurance voyage internationale, y compris des options spécifiques pour les randonneurs et les aventuriers. Leurs polices peuvent couvrir les évacuations médicales et les soins médicaux d’urgence.
4. AXA Assistance : AXA Assistance propose une assurance voyage avec des options de couverture pour les évacuations médicales et d’autres situations imprévues.

Lorsque vous choisissez une assurance voyage, assurez-vous de lire attentivement les termes et conditions, de comprendre les détails de la couverture (y compris les limites et les exclusions), et de vous assurer que l’assurance répond à vos besoins spécifiques pour votre voyage au Népal.

De plus, vérifiez si l’assurance exige un paiement à l’avance en cas d’évacuation médicale, car certains fournisseurs peuvent demander aux voyageurs de payer à l’avance et de demander un remboursement ultérieur. Si tel est le cas, assurez-vous de conserver tous les documents et reçus nécessaires pour faciliter le processus de réclamation.

Le pic est un véritable attrait pour les alpinistes. C’est la montagne la plus populaire du Népal, qui attire les touristes et les voyageurs par son mystère. Il fait partie de la chaîne de montagnes de l’Himalaya Annapurna et possède une hauteur impressionnante de 6 998 mètres.

En langue népalaise, « Machapuchare » se traduit par « queue de poisson ». Ce nom est dû à la ressemblance extérieure de ses formes avec la queue d’un poisson. Cette ressemblance ne peut être remarquée que depuis l’Ouest. Le mont Machapuchare, au Népal, porte un autre nom : le Cervin de l’Himalaya, car il ressemble au pic du même nom dans les Alpes. Si vous vous rendez en voiture de Katmandou, la capitale du Népal, à Pokhara, et de là, à 25 km au nord, vous pourrez voir de vos propres yeux le sommet non conquis.

Machapuchare : pourquoi l’escalade est interdite

Nous pensons que vous vous êtes déjà posé la question : pourquoi l’escalade est-elle interdite ? La réponse se trouve dans les coutumes locales. Au Népal, ils pratiquent l’hindouisme et sont très vénérés pour les anciens dieux. Les habitants croient que cette montagne est la demeure de Shiva et, par conséquent, le Machapuchare est sacré pour eux. Les Népalais croient que les plumes de neige sur la montagne indiquent la fumée de l’origine divine. Selon le peuple népalais, Shiva ne doit pas être dérangé, car c’est un dieu créateur-destructeur. Si le dieu indien se met en colère, l’univers risque d’être détruit à tout moment, selon les croyances religieuses des hindous.

Drapeaux de prière Bouddhisme

Les Langtas sont les chevaux des vents. Drapeaux de prière du Népal

En raison de la signification divine de la montagne, le gouvernement du Népal a décidé en 1957 – de fermer le Mont Machapuchare à l’escalade. Ne pas tenir compte de cette décision serait, d’une part, un mépris des sentiments religieux de la population locale, et d’autre part, une violation des règlements administratifs. Une section du code pénal népalais traite des crimes contre la religion. Il est donc peu probable que les grimpeurs curieux reçoivent un simple avertissement.

Pic Machapuchare non conquis

Il ne fait aucun doute que l’intérêt des randonneurs et des grimpeurs pour le Machapuchare ne s’est pas démenti. L’année de la décision du Népal de fermer la montagne, une seule tentative d’ascension a tout de même eu lieu. Cette tentative s’est soldée par un échec. Jimmy Roberts, Wilfrid Noyce et A. D. M. Cox ont laissé entendre que l’ascension comportait des risques énormes pour eux. Les Britanniques avaient modifié à plusieurs reprises leur itinéraire pour choisir le plus acceptable – ils voulaient escalader le sommet sud parce qu’il était jugé moins dangereux.

À la fin des années 1960, de nombreux journaux ont écrit que des alpinistes britanniques étaient en mesure de gravir le sommet non conquis. Cependant, la vérité était tout le contraire. Cinquante mètres avant la conquête du sommet, les alpinistes ont fait demi-tour. Cette décision a été prise en raison de deux facteurs : les croyances religieuses du peuple népalais et des circonstances extérieures qui ont empêché l’ascension. L’ascension a été compliquée par le mur de glace accidenté et le changement de temps a fait perdre certaines coordonnées du sommet. A ce jour, l’ascension est considérée comme l’une des plus difficiles de l’Himalaya.

Pour changer des euros en roupies népalaises à Katmandou, vous pouvez Utilisez les bureaux de change : Rendez-vous dans les bureaux de change officiels ou les banques à Katmandou. Vous en trouverez facilement dans le centre-ville, à l’aéroport international de Tribhuvan et dans les principales zones touristiques. Les banques ont généralement des taux de change compétitifs. Vous en trouverez en bas de votre hôtel, c’est vraiment pas ça qui manque à Katmandou ou à Pokhara…

Vous pouvez prendre carte locale Ncell mais si vous comptez allez dans les montagnes alors Namasté (NTC) est préférable. A peine plus coûteux selon forfaiT;

Côté tarif, vous en aurez pour 10  euros (puce + DATA internet qui suffiront pour le séjour largement sauf si vous êtes fan de Netflix…). il faudra donner son passeport et se faire prendre en photo par le responsable de boutique (pas top, je sais). Petite astuce, il suffit d’acheter l’ensemble des puces au groupe en le faisant une fois si jamais vous souhaitez éviter l’attente si vous y allez en groupe.

A noter que durant le Trek, le réseau ne passera pas tout le temps, c’est aussi ça la haute montagne 😉 Dans les lodges, il y a des codes Wifi.

Plusieurs compagnies aériennes desservent le Népal en reliant le pays à des destinations internationales et régionales. Voici quelques-unes des compagnies aériennes qui opèrent des vols vers le Népal :

• Nepal Airlines : La compagnie nationale du Népal, qui propose des vols internationaux et domestiques.
• Himalaya Airlines : Une compagnie aérienne népalaise qui dessert des destinations en Asie et au Moyen-Orient.
• Turkish Airlines : Elle offre des vols internationaux via Istanbul vers l’aéroport international Tribhuvan de Katmandou, la capitale du Népal.
• Qatar Airways : Propose des vols internationaux via Doha vers Katmandou.
• Etihad Airways : Elle relie Katmandou à des destinations internationales via son hub à Abu Dhabi.
• Emirates : Propose des vols internationaux vers Katmandou via Dubaï.
• Air India : La compagnie nationale indienne qui dessert Katmandou depuis plusieurs villes indiennes.
• Thai Airways : Propose des vols internationaux via Bangkok vers Katmandou.
• Air China : Offre des vols internationaux vers Katmandou depuis Pékin.
• Biman Bangladesh Airlines : Elle relie le Népal à Dhaka, la capitale du Bangladesh.
• Druk Air : La compagnie nationale du Bhoutan, qui propose des vols vers Paro au Bhoutan avec des connexions possibles vers Katmandou.
• Yeti Airlines : Une compagnie aérienne intérieure népalaise qui assure des vols domestiques.
• Buddha Air : Une autre compagnie aérienne népalaise qui dessert des destinations intérieures.

Veuillez noter que la liste des compagnies aériennes desservant le Népal peut évoluer avec le temps, et il est recommandé de vérifier les horaires et les itinéraires actuels auprès des compagnies aériennes ou des agences de voyage pour obtenir des informations précises sur les vols.

Au Népal les prix se négocient, plus particulièrement à Katmandou. N’oublier pas que vous avez une « tête de touriste » 😉 N’hésitez pas donc à le faire, cela n’est pas un manque de respect envers l’autre personne. Si le prix ne correspond pas à vos attentes, allez simplement voir le prochain magasin ou la personne suivante. Ce n’est pas ce qui manque…

Avis aux petits budgets  : le Népal est littéralement le pays le moins cher d’Asie ! Vous ferez sûrement de bonnes affaires pour l’achat de vêtements de randonnée.

Le pourboire dans les restaurants n’est pas obligatoire, mais il a tendance à se généraliser. Si le service n’est pas déjà inclus dans la note, il est d’usage de laisser 5 à 10 % du montant de l’addition. Pour les autres services, quelques roupies suffisent largement.

Pour les pourboires aux Népalais (Mardi Himal), il faut compter environ 100 euros, 150 euros si vous vous êtes bien sentis et êtes satisfait 🙂

Voici quelques expressions de base et mots courants en népalais qui pourraient être utiles lors de votre voyage au Népal :

• Namaste (नमस्ते) – Une salutation courante qui signifie « Bonjour » ou « Salut ». Elle est souvent accompagnée d’un geste de prière en joignant les mains.
• Dhanyabad (धन्यवाद) – « Merci ».
• Kasari cha? (कसरी छ?) – « Comment ça va ? »
• Ramro cha (राम्रो छ) – « Ça va bien. »
• Ma kasto chu (म कस्तो छु) – « Je vais bien. »
• Malai bujhnasakyo (मलाई बुझ्न सकेन) – « Je ne comprends pas. »
• Kati parchha? (कति पर्छ?) – « Combien ça coûte ? »
• Chiya (चिया) – « Thé » (le thé au lait est très populaire au Népal).
• Khana (खाना) – « Nourriture ».
• Pani (पानी) – « Eau ».
• Ghar (घर) – « Maison ».
• Bazaar (बजार) – « Marché ».
• Haami (हामी) – « Nous » (utilisé pour parler de soi-même).
• Timi (तिमि) – « Tu » (utilisé pour s’adresser à quelqu’un de manière informelle).
• Kasto ho? (कस्तो हो?) – « Comment ça va ? »
• Maaf garnuhos (माफ गर्नुहोस्) – « Excusez-moi » ou « Pardon ».
• Hoina (होइन) – « Non ».
• Ho (हो) – « Oui ».
• Din (दिन) – « Jour ».
• Raat (रात) – « Nuit ».
• Sagarmatha (सगरमाथा) – Le nom népalais de l’Everest.
• Dhaulagiri (धौलागिरी) – Un des sommets les plus élevés du Népal.
• Namrata (नम्रता) – « Gentillesse ».
• Paropkaar (परोपकार) – « Aide aux autres » ou « bienfaisance ».
• Sundar (सुन्दर) – « Beau ».
• Sathi (साथी) – « Ami ».
• Bhaktapur (भक्तपुर) – Une ville historique du Népal.
• Dhulikhel (धुलिखेल) – Une autre ville pittoresque du Népal.
• Tihar (तिहार) – Le festival des lumières au Népal, également connu sous le nom de Deepawali.
• Dashain (दशैं) – Le festival hindou le plus important du Népal.

N’oubliez pas que le népalais est la langue officielle du Népal, mais l’anglais est également assez répandu dans les régions touristiques. Apprendre quelques mots de base en népalais peut néanmoins être très apprécié par les habitants locaux et améliorer votre expérience de voyage.

Lors de votre voyage au Népal, vous aurez l’occasion de découvrir une variété d’articles artisanaux et de souvenirs uniques. Voici quelques achats et souvenirs populaires que vous pouvez envisager de ramener du Népal :

• Thangkas : Les thangkas sont des peintures bouddhistes traditionnelles réalisées sur du tissu ou du parchemin. Ils représentent souvent des divinités, des mandalas ou des scènes religieuses.
• Tapis tibétains : Le Népal produit d’exquis tapis tibétains faits à la main avec des motifs et des couleurs vibrantes.
• Bijoux en argent : Vous trouverez de superbes bijoux en argent, souvent ornés de pierres précieuses ou semi-précieuses, qui sont inspirés de la culture népalaise et tibétaine.
• Vêtements traditionnels : Les vêtements népalais traditionnels, tels que les dhaka topis (chapeaux) et les pashmina (écharpes en laine de cachemire), sont populaires parmi les touristes.
• Masques en bois : Les masques en bois sculptés sont utilisés dans les danses rituelles et les cérémonies religieuses. Ils font de magnifiques décorations murales.
• Cachemire et laine : Les produits en cachemire et laine sont très prisés, des écharpes aux pulls, en passant par les gilets et les couvertures.
• Artisanat en papier : Les produits en papier d’écorce de lokta, tels que les carnets, les lampes et les cartes, sont souvent achetés comme souvenirs.
• Encens et thés : Le Népal produit une variété d’encens parfumés et de thés savoureux que vous pouvez ramener chez vous.
• Instrument de musique : Si vous êtes musicien ou que vous appréciez la musique, vous pouvez acheter des instruments traditionnels népalais, tels que le sarangi ou le madal.
• Bols chantants : Les bols chantants népalais sont connus pour leur qualité sonore apaisante. Ils sont souvent utilisés pour la méditation.
• Souvenirs en pierre : Des sculptures et des bijoux en pierre, comme le lapis-lazuli et la turquoise, sont disponibles dans les zones touristiques.
• Les khukuri : couteaux souvent employés comme serpes et que l’on voit quelquefois à la ceinture des Népalais.

Assurez-vous de négocier les prix lorsque vous faites des achats au Népal, surtout dans les marchés et les petites boutiques. Cela fait partie de la culture locale. De plus, achetez auprès de commerçants dignes de confiance pour vous assurer que les produits sont authentiques et de bonne qualité.

Lors d’un trek en haute altitude au Népal, il est essentiel de se préparer au froid, car les températures peuvent être extrêmement basses, surtout la nuit. Voici quelques astuces pour résister au froid en altitude lors d’un trek au Népal :

Vêtements appropriés :

Habillez-vous en couches pour mieux réguler votre température corporelle.

Portez des vêtements thermiques pour garder la chaleur près de votre corps.

Une veste chaude et imperméable est essentielle pour protéger contre le vent et la pluie.

N’oubliez pas un bonnet, des gants chauds et un foulard pour protéger les extrémités du froid.

Sac de couchage chaud : Investissez dans un sac de couchage adapté aux températures basses. Assurez-vous qu’il est évalué pour les conditions que vous rencontrerez en haute altitude.

Quelques astuces pour les personnes frileuses. Il ne fera pas si froid que cela mais mieux vaut connaître ces petites astuces pour vos prochains treks.

• Porter un bonnet, même pour dormir. 40% de la chaleur s’échappe par la tête, le simple fait de porter un bonnet donne chaud.
• Boire du thé au gingembre, qui stimule la circulation sanguine. Ca tombe bien, c’est bon aussi pour l’altitude.
• Ne surtout pas prendre de douche au delà de 4000m, voire 3500m. C’est bête, mais même si elle est chaude, le simple fait que l’air ambiant soit frais, on a du mal à se réchauffer après, et on attrape froid bêtement. En altitude, préférer les petites lingettes.
• Une astuce de trekkeur : commandez un thermos d’eau chaude vers 19h, et mettez le thermos bien chaud dans le duvet.
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